La décision d’aller vivre ou non en résidence s’avère bien souvent émotive. En effet, les personnes envisagent ce choix quand elles remarquent des changements dans leur vie. Elles peuvent éprouver plus de difficultés ou avoir moins d’agrément à effectuer certaines tâches du quotidien. Forcément, imaginer la baisse progressive de l’autonomie, voire de la maladie et de la mort, c’est très émotif!